chaque semaine je posterais un chapitre, j'espere avoir vos avis, se récit est sous les avis des autres lecteur de docti, mieux écrit que mon premier
Chapitre
1*
Il faut que j’oublie de penser,
oublié tout ce qui m’arrive, il ne faut pas surtout pas que
je sorte, d’ici
Je me présente, Franck, j’ai
18ans et cette phrase, je me l’a suis dite à moi-même
il y a, 1 heure, après avoir fait un Coming-Out improvisé.
Depuis que j’ai 12ans je me sais gay, je ne regarde pas les filles
dans la rue, en tout cas pas comme les autres garçons. J’aime
regarder ses jeunes hommes dans la rue, leur façon de marché,
de bouger leur bras quand il parle. Je me mets toujours sur le même
banc, de la place central de la ville. Et je regarde les passants.
Puis je suis rentré chez moi,
aujourd’hui même à vrais dires. Je suis rentré
alors, et puis je suis passé a table directement. Met parent
avais invité des amie a eux. Il parlais tranquillement quand
Nathalie l’amie de ma mère commença a pleuré,
après avoir annoncé a ma propre mère, que son
filleul, le fils de Nathalie, avais annoncé il y a 3semaines
qu’il était gay. Ma mère choquée, ainsi que
mon père, dire que ce n’était qu’une anormalité
qui pouvait être guérie et d’autre insanité
envers moi, lui, nous, les gays.
Je me suis de suite énervé,
mes parents furent surpris, je gueulai, énervé par la
révélation que mes parents étaient homophobe,
mon père me dit de me calmer, je le fis par respect, mais se
fut pendant un très cours temps, quand il y eu ses quelque
phrase « Tu ne sais pas ce que c’est d’avoir un fils gay
Arthur » Arthur c’est mon père, il répondit
alors « Oui mais... » Il n’u pas le temps de finir sa
phrase, je me suis levé et avant de sortir de la pièce,
en disant « dit toi que maintenant tu le seras, car je suis gay
». Je suis monté alors, je me suis enfermé dans
ma chambre, je ne pensai plus arien jusqu’à ce que j’entende
une voiture partir et mes parents monté, a tout vitesse pour
enfin, tambouriné à ma porte en criant. Toutes ses
années où je me suis caché, où j’ai
souffert, en silence, où j’ai dû me faire passé
pour ce que je ne suis pas. Sortir avec des filles, que je n’aimai
pas. Tous ses sentiments de honte que je ressentais, devant les
sourires de ses filles qui, d’après elles m’aimaient. Et
je me retrouvais là, sur mon lit, s’en pleuré, en
étant vide une coquille, un corps sans envie, sans âmes,
sans volonté.
Il faut que j’oublie de penser,
oublié tout ce qui m’arrive, il ne faut pas surtout pas que
je sorte, d’ici
Mes pensez m’assaille, m’étouffe,
j’en ai marre de savoir, mes parents homophobes, entendre mon père
m’insulter de tous les noms, ma mère pleurée derrière
cette porte. Pourquoi ? Pourquoi suis-je là ? Sans personne ?
Avec mes parents, criant derrière cette porte en bois ?
Pourquoi ce sentiment m’assaille ? Cette envie de dormir
éternellement ? De m’enfuir, de m’évader ?
Je me suis endormi comme ça, sur
mon lit, habillé les larmes aux yeux des penser noir qui
m’entoure.
Rayon de lumière, oiseau qui
chante, bruit de pas et voie au rez-de-chaussée, vombrissement
de voiture, ou de ventilateur d’ordinateur, ronronnement du
chat....Que de bruit que j’entends.....Ronronnement du chat ?
Pourquoi Mistral est-elle là ? Elle a dû, encore rester
enfermé dans ma chambre. Ca n’a pas l’air de l’avoir
affecté, elle ronronne toujours. Je me lève, puis me je
dirige vers la salle de bain, me déshabillé, puis
rentre dans la douche, allume l’eau, froide.... Pas envie de régler
l’eau, réveil brutal, Pas besoin de douceur maintenant, plus
de sentiments dans mon coeur, que de l’amertume, de la rancoeur,
juste de la peur, du regard et des paroles de mes parents, en bas.
Après cette courte douche, je m’habille, me coiffe
sommairement, puis je me dirige devant la porte de ma chambre,
vais-je pouvoir l’ouvrir ?
Nan j’y arrive pas, mon coeur se
sert, ma main est proche du verrou, le sert, veut le pousser sur le
côté. Je dois aller effronté mes parents,
affronté ce qu’ils ont à me dire, les pleures de ma
mère, la colère de mon père, leur honte envers
moi, j’en suis sûr, c’est ça, une honte, une pauvre
honte qu’il auront d’avoir un « sale petit pédé
de morveux » comme a crié mon père hier. J’ouvre
le verrou, tourne la poigné, un poids au coeur me prend
J’ai peur, tellement peur,
pourquoi j’aurai peur de mes propres parents ! Allé Vlad !
Courage
Je sors de la chambre. Descend une
première marche, un coup au coeur, une seconde marche, une
autre, encore un autre. Ma respiration s’accélèrent
le stresse me prend. Je descends encore, plusieurs marches, je
stresse, retiens mes larmes.
Mon père est assis a table,
devant un journal et une tasse de café, [i/] toujours la même[
/i]. Ma mère lave la vaisselle. Je suis dans l’encadrement
de la porte quant ma mère se retourne, Mon père se
retourne après avoir vu ma mère immobile.
Chapitre
1*
Il faut que j’oublie de penser,
oublié tout ce qui m’arrive, il ne faut pas surtout pas que
je sorte, d’ici
Je me présente, Franck, j’ai
18ans et cette phrase, je me l’a suis dite à moi-même
il y a, 1 heure, après avoir fait un Coming-Out improvisé.
Depuis que j’ai 12ans je me sais gay, je ne regarde pas les filles
dans la rue, en tout cas pas comme les autres garçons. J’aime
regarder ses jeunes hommes dans la rue, leur façon de marché,
de bouger leur bras quand il parle. Je me mets toujours sur le même
banc, de la place central de la ville. Et je regarde les passants.
Puis je suis rentré chez moi,
aujourd’hui même à vrais dires. Je suis rentré
alors, et puis je suis passé a table directement. Met parent
avais invité des amie a eux. Il parlais tranquillement quand
Nathalie l’amie de ma mère commença a pleuré,
après avoir annoncé a ma propre mère, que son
filleul, le fils de Nathalie, avais annoncé il y a 3semaines
qu’il était gay. Ma mère choquée, ainsi que
mon père, dire que ce n’était qu’une anormalité
qui pouvait être guérie et d’autre insanité
envers moi, lui, nous, les gays.
Je me suis de suite énervé,
mes parents furent surpris, je gueulai, énervé par la
révélation que mes parents étaient homophobe,
mon père me dit de me calmer, je le fis par respect, mais se
fut pendant un très cours temps, quand il y eu ses quelque
phrase « Tu ne sais pas ce que c’est d’avoir un fils gay
Arthur » Arthur c’est mon père, il répondit
alors « Oui mais... » Il n’u pas le temps de finir sa
phrase, je me suis levé et avant de sortir de la pièce,
en disant « dit toi que maintenant tu le seras, car je suis gay
». Je suis monté alors, je me suis enfermé dans
ma chambre, je ne pensai plus arien jusqu’à ce que j’entende
une voiture partir et mes parents monté, a tout vitesse pour
enfin, tambouriné à ma porte en criant. Toutes ses
années où je me suis caché, où j’ai
souffert, en silence, où j’ai dû me faire passé
pour ce que je ne suis pas. Sortir avec des filles, que je n’aimai
pas. Tous ses sentiments de honte que je ressentais, devant les
sourires de ses filles qui, d’après elles m’aimaient. Et
je me retrouvais là, sur mon lit, s’en pleuré, en
étant vide une coquille, un corps sans envie, sans âmes,
sans volonté.
Il faut que j’oublie de penser,
oublié tout ce qui m’arrive, il ne faut pas surtout pas que
je sorte, d’ici
Mes pensez m’assaille, m’étouffe,
j’en ai marre de savoir, mes parents homophobes, entendre mon père
m’insulter de tous les noms, ma mère pleurée derrière
cette porte. Pourquoi ? Pourquoi suis-je là ? Sans personne ?
Avec mes parents, criant derrière cette porte en bois ?
Pourquoi ce sentiment m’assaille ? Cette envie de dormir
éternellement ? De m’enfuir, de m’évader ?
Je me suis endormi comme ça, sur
mon lit, habillé les larmes aux yeux des penser noir qui
m’entoure.
Rayon de lumière, oiseau qui
chante, bruit de pas et voie au rez-de-chaussée, vombrissement
de voiture, ou de ventilateur d’ordinateur, ronronnement du
chat....Que de bruit que j’entends.....Ronronnement du chat ?
Pourquoi Mistral est-elle là ? Elle a dû, encore rester
enfermé dans ma chambre. Ca n’a pas l’air de l’avoir
affecté, elle ronronne toujours. Je me lève, puis me je
dirige vers la salle de bain, me déshabillé, puis
rentre dans la douche, allume l’eau, froide.... Pas envie de régler
l’eau, réveil brutal, Pas besoin de douceur maintenant, plus
de sentiments dans mon coeur, que de l’amertume, de la rancoeur,
juste de la peur, du regard et des paroles de mes parents, en bas.
Après cette courte douche, je m’habille, me coiffe
sommairement, puis je me dirige devant la porte de ma chambre,
vais-je pouvoir l’ouvrir ?
Nan j’y arrive pas, mon coeur se
sert, ma main est proche du verrou, le sert, veut le pousser sur le
côté. Je dois aller effronté mes parents,
affronté ce qu’ils ont à me dire, les pleures de ma
mère, la colère de mon père, leur honte envers
moi, j’en suis sûr, c’est ça, une honte, une pauvre
honte qu’il auront d’avoir un « sale petit pédé
de morveux » comme a crié mon père hier. J’ouvre
le verrou, tourne la poigné, un poids au coeur me prend
J’ai peur, tellement peur,
pourquoi j’aurai peur de mes propres parents ! Allé Vlad !
Courage
Je sors de la chambre. Descend une
première marche, un coup au coeur, une seconde marche, une
autre, encore un autre. Ma respiration s’accélèrent
le stresse me prend. Je descends encore, plusieurs marches, je
stresse, retiens mes larmes.
Mon père est assis a table,
devant un journal et une tasse de café, [i/] toujours la même[
/i]. Ma mère lave la vaisselle. Je suis dans l’encadrement
de la porte quant ma mère se retourne, Mon père se
retourne après avoir vu ma mère immobile.