Jeu mortelle
Une étoile née, elle brille,
elle cligne de ses yeux invisibles qui lui appartiennent. Je la regarde
dans la nuit, sombre, trop calme, les larmes sur mes joues, ont encore
coulées, comme chaque nuit.
Je ne fais que pleurer, me vider
de ce malheur qui me ronge, me vider de tout ces sentiments qui
m'assaillent, qui m'étouffent. Je haie l'amour, je me haie. Je le haie
autant que je l'aime. Lui qui m'a trahi, lui qui a révélé au monde ce
que je suis.
Je l'aimais et je l'aime encore, mais je le
haie... Ses cheveux brun son corps carré... Son hétérosexualité
m'attire, il m’est impossible à avoir...
Hier j'ai voulu l'approcher et il m'a rejeté, comme une
espèce de chien, comme un insecte peu malin. Les gens autour m'évitent,
s'éloignent de moi comme un pestiféré. S'éloignent de moi.
J'ai mal au cœur de vivre ça, j'ai mal au cœur d'avoir fais ça. De l'avoir
approcher l'autre jour, pendant des années je l'ai aimé en secret, lui
,mon amour... Je l'admirais de loin, je l'approchais des fois, juste
pour le frôler, pour l’apercevoir.
Ou juste pour sentir son odeur enivrante. Je ne me faisais
pas remarquer, j'évitais de le faire trop souvent. Je voulais juste
être à lui, je voulais juste lui appartenir mais, lui ,ne me voyait
pas, je passais inaperçu, j'étais comme une ombre derrière lui.
J'étais comme tout les gens oubliés ici. Je n'aimais pas ma vie, je la
haïssais, encore plus ce jour, où il m’a regardé. Il était venu me
voir, un sourire froid aux lèvres, il s'était assis prés de moi, une
remarque à me faire.
Soit disant que j'étais nouveau… Mais
j'étais toujours là, depuis 4 ans dans sa classe... 4 ans où je
l'aimais, depuis la première seconde où je l'avais vu...
Il m'a brisé en deux secondes, brisé en une seul phrase, une seule
question...Il m’a prouvé que pour lui, je n'étais rien tout au long de
ces années... Après les jours passés, il me disait quand même
bonjour...Un simple salut qui est alors devenu très important pour moi.
Un lien entre nous deux, la seul chose qui me raccrochais à
la vie. C'était alors un simple mot écouté avec attention chaque matin
quand je le croisais. Et les jours où le hasard faisait qu'il me le
disait deux fois me rendaient tellement heureux que j'en oubliais à
chaque fois où je me dirigeais, ou même où j'étais.
Il m'attirait, il était si beau, il était populaire, lui qui me paraissait
si loin et si proche à la fois. Un salut chaque matin, un regard chaque
soir... voilà ce qu'il me donnait depuis 3 mois, quand il commençait
alors à plus me parler, il s'intéressait plus à moi...
Il restait souvent prés de moi...Je ne m'en plaignais pas, non ça non je
ne m'en plaignais pas. Pourquoi l'aurais-je fait? Moi qui le trouvais
si parfait? Moi qui l'aimais.
Il me parlait, il me touchait,
il m'aidait des fois. J'étais bien, je me sentais bien, je passais de
l'inconnu au populaire. Mais, je voyais autour les gens me regarder,
les filles rigoler, je ne voyais rien venir, je ne faisais que
profiter. Les gens se moquaient de plus en plus de moi.
Lui ne m'aidait plus... Lui , à qui j'avais dit des choses la veille . Je
lui avais tout dit. Mon amour pour lui, mon cœur s'était ouvert. Mais
lui ,l'avait fermé.
Il était hétéro et me la fait comprendre,
il était un salop et ça, on me l’a fait comprendre. Il avait tout
enregistré, lui ,il avait tout montré. Le réseau du lycée a été
bombardé par une vidéo, celle où je lui disais tout ce que je
ressentais.
Au combien j'ai été idiot de lui faire confiance, je sais au
combien j'ai été naïf. Il avait tout prévu, il avait tout choisi… les
mots qu'il m’a dit , ce qu'il a fait durant des mois, il était
patient, il voulait me faire souffrir et il a réussi.
Il a montré au monde que j'étais différent, il m'a montré a moi que je
n'étais qu’un objet. Il s’est servi de moi , de mon corps... Il avait
profité de moi... de mon corps...
je lui ai fait ce cadeau,
que bon nombre offre à leur unique, que bon nombre offre à l'être
qu'il aime après longtemps . Non moi j'ai tout donné, autant mon âme
que mon cœur et mon corps.
Je me suis offert à lui et il m'a
pris, pour me lâcher comme un mouchoir le lendemain, pour révéler au
monde ce que je cachais depuis longtemps, il a révélé au monde pour
s'amuser de mon malheur ce que je ne voulais surtout pas dévoiler.
Je ne m'acceptais pas, à part quand j'étais avec lui, ce soir là, il m’a
tout repris, tout volé. Il a brisé mon cœur en jouant avec.
L'étoile brille, l'étoile vie, elle clignote et me montre ce que je
n'aurais plus. La vie, mon amour est partit en se moquant de moi, je
n'ose plus bouger de là, je n'ose plus regarder le monde à part au
travers de cette vitre foncé, que j'ouvre le soir.
Cette fenêtre qui me montre ce ciel étoilé, où un nombre d'étoiles infini
clignote, où des étoiles meurent. Je pleure, mes larmes s'écoulent, mes
joues mouillées sont crispées comme mon visage.
Les yeux rouges, l'âme en morceaux. J'écris, et écris encore, des poèmes des
vœux, où la mort. J'incite mon âme à partir rejoindre l'au-delà. Mes
doigts accrochés a cette plume, mes larmes coulant sur la feuille,
étalant l'encre déjà étendue sur le papier.
Comme un amour révélé
je me suis montré
je me suis offert
et j'ai souffert
Je me suis révélé à l'amour
je me suis offert à l'amour
cette amour qui m’a tué.
Et qui me tuera pour toujours.
Je pleure mes mots, j'écris mes pleurs. J'oublie ma vie. Toute
cette histoire je veux l'oublier mais je ne le peux. On m’a trahi, on
m’a brisé, Comment peut-on faire ça aux gens? Se jouer de leurs
sentiments.
Lui il l'a fait, lui il s'est joué de moi, il
s’est amusé avec moi, il m’a baisé, oui j'étais son jouet plus qu'autre
chose. Peut-être qu'à ce moment c'était magnifique, peut-être que ce
moment là était superbe mais, la suite non.
Il a tout dévoilé ,tout, il a tout montré, je suis devenu une
chienne gay à cause de lui! Je suis devenu le mec stupide et naïf de
l'école, que le gens aiment pour sa stupidité.
Je ne peux pas dormir, même sous les étoiles, je ne peux pas fermer
les yeux sinon je le vois, lui encore et toujours lui. Ce jour où je
suis retourné là-bas. A l'école, où j'ai franchi les grilles sous les
regards moqueurs, ils savaient tous.
Les filles semble soit moqueuses soit dégoutées. Les garçons ne s'approchaient pas de moi...
Je voulais aller le voir ,lui, je voulais allé le serrer dans mes bras
mais non il n'a fait que crier
« Dégage vide couille »
Il n'a fait que m'insulter. Et c'est en cours ,oui, dans cette salle informatique que j'ai vu, cette vidéo. La veille. Tout m’est revenu en tête en même
temps que tout se passait devant moi devenu spectateur de ma propre
bêtise. J'ai entendu mes propres mots, vu mes propre actes, je me suis
dégouté en un instant.
La seul chose que je pensais à faire était alors de fuir, de
courir, longtemps sans m'arrêter, même sous la pluie...Toute la
journée... j'ai pas eu envie de m'arrêter, je voulais me vider, me tuer
de fatigue, me faire oublier mes problèmes par la souffrance physique.
Maintenant je suis là, devant mon bureau, j'ai lâché ma plume, j'ai lâché mes
mots, j'ai lâché mes larmes qui ne s'arrêtent plus, mon cœur tape fort
dans ma poitrine, mon cœur tape fort dans mes tripes.
Il tape et se sert a la fois. Il s’est brisé mais me fait toujours vivre. Mon
sang ne s'arrête pas de couler, mon sang s'écoule toujours dans mes
veines, autant que mon dégout.
Cette lame sur ce bureau, je veux fuir ce monde qui me fait tant souffrir. Je veux m'en aller, je ne veux plus souffrir, ni pleurer. J'en ai marre, j'en peux plus. Je veux partir, je prends cette lame, la pose sur mon poignet, j'appuie
lentement, des frisson me prennent, j'ai mal. Mais pas autant que mon
cœur.
Je souffre mais d'une manière plus douce. Mon sang
coule, il est chaud. Mon sang coule laissant des trainées rouges sur
mon bras… Sur le sol, des traces s'accumulent.
J'appuie la lame encore plus, et je change de bras, j'appuie pareillement, le sang s'écoule, le rouge apparaît, ma vie s’en va. Le sang ,c'est l'âme, et
mon âme part de moi. Je me vide, je m'allonge sur mon lit, attendant la
mort.
Je sens toute ma vie s'écouler, je la vois défiler. Je le vois lui, ces yeux, je le vois lui... J'écris son nom sur ce mur
blanc … j'écris ces lettres qui représente son corps, son être.
Darwin...son nom …tout son être... je l'aime, je le haie, je me vide de
mon sang.
Ces lettres que je vois en dernier avant de mourir.... ces lettres qui signifiaient un amour impossible et qui ma tué....
Une étoile née, elle brille,
elle cligne de ses yeux invisibles qui lui appartiennent. Je la regarde
dans la nuit, sombre, trop calme, les larmes sur mes joues, ont encore
coulées, comme chaque nuit.
Je ne fais que pleurer, me vider
de ce malheur qui me ronge, me vider de tout ces sentiments qui
m'assaillent, qui m'étouffent. Je haie l'amour, je me haie. Je le haie
autant que je l'aime. Lui qui m'a trahi, lui qui a révélé au monde ce
que je suis.
Je l'aimais et je l'aime encore, mais je le
haie... Ses cheveux brun son corps carré... Son hétérosexualité
m'attire, il m’est impossible à avoir...
Hier j'ai voulu l'approcher et il m'a rejeté, comme une
espèce de chien, comme un insecte peu malin. Les gens autour m'évitent,
s'éloignent de moi comme un pestiféré. S'éloignent de moi.
J'ai mal au cœur de vivre ça, j'ai mal au cœur d'avoir fais ça. De l'avoir
approcher l'autre jour, pendant des années je l'ai aimé en secret, lui
,mon amour... Je l'admirais de loin, je l'approchais des fois, juste
pour le frôler, pour l’apercevoir.
Ou juste pour sentir son odeur enivrante. Je ne me faisais
pas remarquer, j'évitais de le faire trop souvent. Je voulais juste
être à lui, je voulais juste lui appartenir mais, lui ,ne me voyait
pas, je passais inaperçu, j'étais comme une ombre derrière lui.
J'étais comme tout les gens oubliés ici. Je n'aimais pas ma vie, je la
haïssais, encore plus ce jour, où il m’a regardé. Il était venu me
voir, un sourire froid aux lèvres, il s'était assis prés de moi, une
remarque à me faire.
Soit disant que j'étais nouveau… Mais
j'étais toujours là, depuis 4 ans dans sa classe... 4 ans où je
l'aimais, depuis la première seconde où je l'avais vu...
Il m'a brisé en deux secondes, brisé en une seul phrase, une seule
question...Il m’a prouvé que pour lui, je n'étais rien tout au long de
ces années... Après les jours passés, il me disait quand même
bonjour...Un simple salut qui est alors devenu très important pour moi.
Un lien entre nous deux, la seul chose qui me raccrochais à
la vie. C'était alors un simple mot écouté avec attention chaque matin
quand je le croisais. Et les jours où le hasard faisait qu'il me le
disait deux fois me rendaient tellement heureux que j'en oubliais à
chaque fois où je me dirigeais, ou même où j'étais.
Il m'attirait, il était si beau, il était populaire, lui qui me paraissait
si loin et si proche à la fois. Un salut chaque matin, un regard chaque
soir... voilà ce qu'il me donnait depuis 3 mois, quand il commençait
alors à plus me parler, il s'intéressait plus à moi...
Il restait souvent prés de moi...Je ne m'en plaignais pas, non ça non je
ne m'en plaignais pas. Pourquoi l'aurais-je fait? Moi qui le trouvais
si parfait? Moi qui l'aimais.
Il me parlait, il me touchait,
il m'aidait des fois. J'étais bien, je me sentais bien, je passais de
l'inconnu au populaire. Mais, je voyais autour les gens me regarder,
les filles rigoler, je ne voyais rien venir, je ne faisais que
profiter. Les gens se moquaient de plus en plus de moi.
Lui ne m'aidait plus... Lui , à qui j'avais dit des choses la veille . Je
lui avais tout dit. Mon amour pour lui, mon cœur s'était ouvert. Mais
lui ,l'avait fermé.
Il était hétéro et me la fait comprendre,
il était un salop et ça, on me l’a fait comprendre. Il avait tout
enregistré, lui ,il avait tout montré. Le réseau du lycée a été
bombardé par une vidéo, celle où je lui disais tout ce que je
ressentais.
Au combien j'ai été idiot de lui faire confiance, je sais au
combien j'ai été naïf. Il avait tout prévu, il avait tout choisi… les
mots qu'il m’a dit , ce qu'il a fait durant des mois, il était
patient, il voulait me faire souffrir et il a réussi.
Il a montré au monde que j'étais différent, il m'a montré a moi que je
n'étais qu’un objet. Il s’est servi de moi , de mon corps... Il avait
profité de moi... de mon corps...
je lui ai fait ce cadeau,
que bon nombre offre à leur unique, que bon nombre offre à l'être
qu'il aime après longtemps . Non moi j'ai tout donné, autant mon âme
que mon cœur et mon corps.
Je me suis offert à lui et il m'a
pris, pour me lâcher comme un mouchoir le lendemain, pour révéler au
monde ce que je cachais depuis longtemps, il a révélé au monde pour
s'amuser de mon malheur ce que je ne voulais surtout pas dévoiler.
Je ne m'acceptais pas, à part quand j'étais avec lui, ce soir là, il m’a
tout repris, tout volé. Il a brisé mon cœur en jouant avec.
L'étoile brille, l'étoile vie, elle clignote et me montre ce que je
n'aurais plus. La vie, mon amour est partit en se moquant de moi, je
n'ose plus bouger de là, je n'ose plus regarder le monde à part au
travers de cette vitre foncé, que j'ouvre le soir.
Cette fenêtre qui me montre ce ciel étoilé, où un nombre d'étoiles infini
clignote, où des étoiles meurent. Je pleure, mes larmes s'écoulent, mes
joues mouillées sont crispées comme mon visage.
Les yeux rouges, l'âme en morceaux. J'écris, et écris encore, des poèmes des
vœux, où la mort. J'incite mon âme à partir rejoindre l'au-delà. Mes
doigts accrochés a cette plume, mes larmes coulant sur la feuille,
étalant l'encre déjà étendue sur le papier.
Comme un amour révélé
je me suis montré
je me suis offert
et j'ai souffert
Je me suis révélé à l'amour
je me suis offert à l'amour
cette amour qui m’a tué.
Et qui me tuera pour toujours.
Je pleure mes mots, j'écris mes pleurs. J'oublie ma vie. Toute
cette histoire je veux l'oublier mais je ne le peux. On m’a trahi, on
m’a brisé, Comment peut-on faire ça aux gens? Se jouer de leurs
sentiments.
Lui il l'a fait, lui il s'est joué de moi, il
s’est amusé avec moi, il m’a baisé, oui j'étais son jouet plus qu'autre
chose. Peut-être qu'à ce moment c'était magnifique, peut-être que ce
moment là était superbe mais, la suite non.
Il a tout dévoilé ,tout, il a tout montré, je suis devenu une
chienne gay à cause de lui! Je suis devenu le mec stupide et naïf de
l'école, que le gens aiment pour sa stupidité.
Je ne peux pas dormir, même sous les étoiles, je ne peux pas fermer
les yeux sinon je le vois, lui encore et toujours lui. Ce jour où je
suis retourné là-bas. A l'école, où j'ai franchi les grilles sous les
regards moqueurs, ils savaient tous.
Les filles semble soit moqueuses soit dégoutées. Les garçons ne s'approchaient pas de moi...
Je voulais aller le voir ,lui, je voulais allé le serrer dans mes bras
mais non il n'a fait que crier
« Dégage vide couille »
Il n'a fait que m'insulter. Et c'est en cours ,oui, dans cette salle informatique que j'ai vu, cette vidéo. La veille. Tout m’est revenu en tête en même
temps que tout se passait devant moi devenu spectateur de ma propre
bêtise. J'ai entendu mes propres mots, vu mes propre actes, je me suis
dégouté en un instant.
La seul chose que je pensais à faire était alors de fuir, de
courir, longtemps sans m'arrêter, même sous la pluie...Toute la
journée... j'ai pas eu envie de m'arrêter, je voulais me vider, me tuer
de fatigue, me faire oublier mes problèmes par la souffrance physique.
Maintenant je suis là, devant mon bureau, j'ai lâché ma plume, j'ai lâché mes
mots, j'ai lâché mes larmes qui ne s'arrêtent plus, mon cœur tape fort
dans ma poitrine, mon cœur tape fort dans mes tripes.
Il tape et se sert a la fois. Il s’est brisé mais me fait toujours vivre. Mon
sang ne s'arrête pas de couler, mon sang s'écoule toujours dans mes
veines, autant que mon dégout.
Cette lame sur ce bureau, je veux fuir ce monde qui me fait tant souffrir. Je veux m'en aller, je ne veux plus souffrir, ni pleurer. J'en ai marre, j'en peux plus. Je veux partir, je prends cette lame, la pose sur mon poignet, j'appuie
lentement, des frisson me prennent, j'ai mal. Mais pas autant que mon
cœur.
Je souffre mais d'une manière plus douce. Mon sang
coule, il est chaud. Mon sang coule laissant des trainées rouges sur
mon bras… Sur le sol, des traces s'accumulent.
J'appuie la lame encore plus, et je change de bras, j'appuie pareillement, le sang s'écoule, le rouge apparaît, ma vie s’en va. Le sang ,c'est l'âme, et
mon âme part de moi. Je me vide, je m'allonge sur mon lit, attendant la
mort.
Je sens toute ma vie s'écouler, je la vois défiler. Je le vois lui, ces yeux, je le vois lui... J'écris son nom sur ce mur
blanc … j'écris ces lettres qui représente son corps, son être.
Darwin...son nom …tout son être... je l'aime, je le haie, je me vide de
mon sang.
Ces lettres que je vois en dernier avant de mourir.... ces lettres qui signifiaient un amour impossible et qui ma tué....
Steve Belio 1990 2008
« Amour toujours, amour jamais. »
« Amour toujours, amour jamais. »