Drogue et amour
Je la vois cette aiguille.
Elle veut que je vienne, que je la prenne, que je la pose sur mon bras
meurtri. Je meurs d'envie, de besoin, de manque, j'en meurs d'envie, de
désespoir. Elle, posée tranquillement sur le bois de la table, elle me
nargue, et me donne envie, elle m'appelle, je la prends.
Elle,
si belle... elle qui m'apportera se dont mon corps a besoin et envie.
Je la pose sur mon bras, violet de bleu, violet de piqure, je
l'enfonce... j'appuie, et je ressens, cette sensation que j'aime tant.
Cette
sensation dont j'attends tout. Ce liquide rentre dans mon bras, coule
dans ma veine, mes yeux deviennent rouge...mon corps convulse, je
souris... je me sens bien... beaucoup trop bien...j'aime ça plus que
tout au monde... j'aime ça plus que n'importe qui... j'aime ça, autant
que je hais ma vie...
je me rappelle encore des mots, que l'on m'a dits... sans savoir d'où cela venait...
« Pourquoi tu fais ça ? »
« Pour êtres heureux »
« Tu n’as pas besoin de ça pour l'être »
« Si.... »
C’est encore dans ma tête...
Je laisse cette aiguille, faire ce qu'elle a faire. Je la laisse
là, sans bouger, sans rien faire, je regarde ce plafond de bois. Je
sens encore, ce liquide parcourir mon corps, je sens encore ses
convulsions qui me prennent les tripes.
Je souris, comme un
enfant qui n'en est plus un depuis longtemps. Des images me viennent,
des flashs, je me sens mal d'un coup.
Comme ci tout était
rejeté, comme si mon cerveau me tirait de mon bonheur... J'ai mal, je
convulse, j'ai mal et je pleure.... Mon Dieu, aidez-moi, même si je ne
crois pas en vous... mon Dieu aidez moi.... même si j'ai été renié de
vous... J'en ai trop fait ? Pas assez ?
Je sais plus, mais
j'ai mal. Mon cœur se sert, mon visage se crispe. J'entends des pas...
j'ai toujours mal. Je passe ma main sur mon cœur, j'appuie comme pour
faire passer la douleur...
« mon Dieu, je savais que tu allas faire une connerie »
Je sens quelqu'un me porter... j'ai mal, je ne sais pas qui
c’est, je vois toute ma putain de vie passer devant mes yeux, je vois
tous les gens que j'ai pu aimez un jour repasser dans ma tête, je le
vois, lui mon amour, je le vois lui, que j'aime toujours, même si je me
mens....
On me porte, je ne sais où, on me transporte, je
ne sais pas comment. J'ai toujours mal, je vois de plus en plus flou,
je ne sais plus où je suis, qui je suis, ou ce que je fais. Je souris
encore, je me sens heureux, heureux de bêtises dont je suis l'objet,
heureux d'actes dont je suis l'acteur.
Je deviens spectateur de ma vie, au lieu d'être acteur et scénariste. Je deviens la poupée d'un spectacle de guignol. J'en rigole moi-même de voir un carnage sans nom. J'en rigole de même de voir ce visage... des bruits s'approchent, des gens approchent, des gens s'éloignent, tout bouge autour de moi,
j'en rigole, ça m'amuse, je ne sais pas pourquoi, cette douleur que je
ressens me fait rire.
Des gens parlent, je ne comprends rien,
j'entends des mots, sans savoir ce qu'ils veulent dire. J'entends des
sons sans savoir pourquoi il existe. Puis plus rien, un vide complet,
je ne sais plus, je pense sans pouvoir penser. J'agis sans savoir que
faire, n'y pouvoir faire quoi que se soit.
J'ouvre les
yeux, doucement, trop doucement, mais je ne peux rien faire de plus
rapide... j'ai peur... Je repense à toute ma vie, tous ces moments que
j'ai vécu, à lui... je m'en rappelle la première fois que je l'ai
vue...
C'était il y a un an... Il était dans ce petit parc
abandonné, où je viens chercher mes doses. Il était habillé de blanc,
un ange, c'est ça que je voyais... rien d'autre qu'un ange descendu sur
terre... ses yeux si profonds, si noirs, contrastants avec son
apparence.... si claire... si angélique, il parait si sombre et
mystérieux à travers ses yeux....
J'étais fasciné par lui,
j'en aurais oublié ma dose si m'ont corps ne m'aurait rien réclamé....
si ce manque ne s’était pas manifesté... il était assis sur ce muret a
regardé en face de lui... il était... j'ai dû me forcer à passer devant
lui sans le regarder... me forcer à ne pas l'approcher... et je suis
allé vers le fond du parc, là-bas... loin de lui, mais à la fois trop
proche…j’ai pris ma dose et je suis parti.
J'ai senti son
regard, tout le long de la transaction... j'ai senti son regard...
quand je partais... Il m'a alors suivi, longtemps jusqu'à ce que je
m'arrête. Il m'a regardé, sondé, de haut en bas... et il m'a dit :
« Pourquoi tu fais ça ? »
« Pour êtres heureux »
« Tu n’as pas besoin de ça pour l'être »
« Si... »
Un simple dialogue, il s’est rapproché... de moi, lentement... il s’est rapproché... jusqu'à me toucher.
« Tu devrais arrêter... »
J’ai senti son souffle dans mon cou, j'ai eu ce frisson, que
je ne connais pas... il était là, ses yeux m'envoutant d'une façon que
je ne croyais pas possible, d'une façon paisible. J'aimai son regard
qu'il portait sur moi, j'aimais sa main sur mon épaule... j'aimais
sentir sa peau..., sa chaleur... Il semblait si parfais... si unique...
si... lui-même... il restait sans bouger derrière moi, je ne comprenais
pas...
« Ça te fait du mal... »
Sa voix était douce, calme, et à la fois grave et forte...
j'aimais cette voix, qui me calmait, qui me faisait tout oublier...
cette voix que j'entendais de plus en plus au fil des jours qui
suivaient ce moment... je m'en souviens de tous ces jours... je m'en
souviens... parfaitement et ça me fait peur à présent, je sais que je
suis presque mort…
Mon bras…j'ai mal...mon corps…j'en tremble
de tout se que j'ai fait... tout me revient en mémoire d'un coup... un
coup de poignard qui s'enfonce dans mes tréfonds... mes larmes
s'écoulent doucement sur mes joues rougies par la honte d'être ce que
je suis… et serais surement pour toujours.
Ces flashs me reviennent toujours... comme ce premier baiser de ma vie... j'étais jeune... non... j'étais normal... innocent. C’était un
garçon...blond... ça a toujours été des garçons, même si j'en suis un
moi-même...je me dégoute en moiteur, d'aimer quelqu'un du même sexe que
moi.... je dégoute les autres a être comme ça...
Je me souviens encore de lui, il s'était approché de moi et
avait posée ses lèvres sur les miennes... des frissons m'avais
parcourut, tout mon corps s'était détendu... j'aimais ce baiser qui
m'avait été offert... mais rien d'autre n’avait été pour moi... il
était parti après, sans rien me donner d'autre. Sans aucun mot, sans
aucun souffle... il m'avait abandonné... comme on abandonne un chiot
sur le bord d'une route de campagne...
Sur ce lit, je repense à tout ce que j'ai fait dans ma vie... sur ce lit, attaché à ses fils, je repense... à tous ces actes anodins ou malsains réalisé
dans ma vie... j'ai peur…j'ai mal... j'oublie et je pense...
Son image me revient, en même temps que d'autres moments... je pense à tout et rien à la fois, entrecoupé d'image de lui…ses yeux, sa voix... son
visage... son nez, sa bouche, son front, son menton...sa façon de
bouger les bras, ou de marcher en zigzag pour s'amuser...sa façon
d'être avec moi...diffèrent de sa façon d'être avec les autres...tout
en lui me revient, tous ses gestes, ses paroles... ses mots sortis dans
un souffle ou un cri...
Je repense encore et encore a cette première fois, celle-là ou j'ai détruit ma vie... je marchais dans ces ruelles trop sombres pour moi. J'avais peur... ça oui... beaucoup, mais, je pleurais toutes les larmes de mon corps, j’étais
naïf et inconscient, je marchais dans les ruelles sombres comme ci
j'étais dans l'avenue principale de la ville.
J'étais là, comme ci de rien n’était, mais, autour de moi, la mort et la famine
proféraient. Je marchais, j'avançais dans les profondeurs sombres… je
voyais la vie, en sombre, la vie qui fait pleurer, la vie qui donne des
envies suicidaires... la vie ou le bonheur semble si lointain. Un lieu
où le bonheur est associé aux anges.
Je me revois encore, là-bas. Tout au fond, coincé entre un mur sale et noir... et lui... si
grand... il me faisait peur... très peur... je le devenais comme un
enfant découvrant une nouvelle école... comme un petit enfant devant
une araignée... comme un blessé en face de la mort...j'avais peur de
lui... comme les chrétiens ont peur du diable... c'était mon diable...
Il était Lucifer provoquant l'envie... un ange déchu de lumière... où la
lumière, c'est de l'ecstasy... de l'héroïne... de la cocaïne... Il m’a
fourni... il me fournit toujours... des doses... de plus en plus
fortes... des qualités de drogue… de plus en plus chères et
recherchées... Il me trouvait tout... il me trouve toujours tout... Il
sais que je suis accroc... il sais que j'ai de l'argent... Il en
profite.... il me vend tout... drogue et accessoire...
Les ventes proliféraient chez lui... beaucoup par moi... j'en suis à me
droguer... chaque matin avant les cours... je me pique.... a midi je
snif... le soir... je fume... trois fois... trois doses... trois
drogues... des drogues dures qui me font planer…
Je la vois cette aiguille.
Elle veut que je vienne, que je la prenne, que je la pose sur mon bras
meurtri. Je meurs d'envie, de besoin, de manque, j'en meurs d'envie, de
désespoir. Elle, posée tranquillement sur le bois de la table, elle me
nargue, et me donne envie, elle m'appelle, je la prends.
Elle,
si belle... elle qui m'apportera se dont mon corps a besoin et envie.
Je la pose sur mon bras, violet de bleu, violet de piqure, je
l'enfonce... j'appuie, et je ressens, cette sensation que j'aime tant.
Cette
sensation dont j'attends tout. Ce liquide rentre dans mon bras, coule
dans ma veine, mes yeux deviennent rouge...mon corps convulse, je
souris... je me sens bien... beaucoup trop bien...j'aime ça plus que
tout au monde... j'aime ça plus que n'importe qui... j'aime ça, autant
que je hais ma vie...
je me rappelle encore des mots, que l'on m'a dits... sans savoir d'où cela venait...
« Pourquoi tu fais ça ? »
« Pour êtres heureux »
« Tu n’as pas besoin de ça pour l'être »
« Si.... »
C’est encore dans ma tête...
Je laisse cette aiguille, faire ce qu'elle a faire. Je la laisse
là, sans bouger, sans rien faire, je regarde ce plafond de bois. Je
sens encore, ce liquide parcourir mon corps, je sens encore ses
convulsions qui me prennent les tripes.
Je souris, comme un
enfant qui n'en est plus un depuis longtemps. Des images me viennent,
des flashs, je me sens mal d'un coup.
Comme ci tout était
rejeté, comme si mon cerveau me tirait de mon bonheur... J'ai mal, je
convulse, j'ai mal et je pleure.... Mon Dieu, aidez-moi, même si je ne
crois pas en vous... mon Dieu aidez moi.... même si j'ai été renié de
vous... J'en ai trop fait ? Pas assez ?
Je sais plus, mais
j'ai mal. Mon cœur se sert, mon visage se crispe. J'entends des pas...
j'ai toujours mal. Je passe ma main sur mon cœur, j'appuie comme pour
faire passer la douleur...
« mon Dieu, je savais que tu allas faire une connerie »
Je sens quelqu'un me porter... j'ai mal, je ne sais pas qui
c’est, je vois toute ma putain de vie passer devant mes yeux, je vois
tous les gens que j'ai pu aimez un jour repasser dans ma tête, je le
vois, lui mon amour, je le vois lui, que j'aime toujours, même si je me
mens....
On me porte, je ne sais où, on me transporte, je
ne sais pas comment. J'ai toujours mal, je vois de plus en plus flou,
je ne sais plus où je suis, qui je suis, ou ce que je fais. Je souris
encore, je me sens heureux, heureux de bêtises dont je suis l'objet,
heureux d'actes dont je suis l'acteur.
Je deviens spectateur de ma vie, au lieu d'être acteur et scénariste. Je deviens la poupée d'un spectacle de guignol. J'en rigole moi-même de voir un carnage sans nom. J'en rigole de même de voir ce visage... des bruits s'approchent, des gens approchent, des gens s'éloignent, tout bouge autour de moi,
j'en rigole, ça m'amuse, je ne sais pas pourquoi, cette douleur que je
ressens me fait rire.
Des gens parlent, je ne comprends rien,
j'entends des mots, sans savoir ce qu'ils veulent dire. J'entends des
sons sans savoir pourquoi il existe. Puis plus rien, un vide complet,
je ne sais plus, je pense sans pouvoir penser. J'agis sans savoir que
faire, n'y pouvoir faire quoi que se soit.
J'ouvre les
yeux, doucement, trop doucement, mais je ne peux rien faire de plus
rapide... j'ai peur... Je repense à toute ma vie, tous ces moments que
j'ai vécu, à lui... je m'en rappelle la première fois que je l'ai
vue...
C'était il y a un an... Il était dans ce petit parc
abandonné, où je viens chercher mes doses. Il était habillé de blanc,
un ange, c'est ça que je voyais... rien d'autre qu'un ange descendu sur
terre... ses yeux si profonds, si noirs, contrastants avec son
apparence.... si claire... si angélique, il parait si sombre et
mystérieux à travers ses yeux....
J'étais fasciné par lui,
j'en aurais oublié ma dose si m'ont corps ne m'aurait rien réclamé....
si ce manque ne s’était pas manifesté... il était assis sur ce muret a
regardé en face de lui... il était... j'ai dû me forcer à passer devant
lui sans le regarder... me forcer à ne pas l'approcher... et je suis
allé vers le fond du parc, là-bas... loin de lui, mais à la fois trop
proche…j’ai pris ma dose et je suis parti.
J'ai senti son
regard, tout le long de la transaction... j'ai senti son regard...
quand je partais... Il m'a alors suivi, longtemps jusqu'à ce que je
m'arrête. Il m'a regardé, sondé, de haut en bas... et il m'a dit :
« Pourquoi tu fais ça ? »
« Pour êtres heureux »
« Tu n’as pas besoin de ça pour l'être »
« Si... »
Un simple dialogue, il s’est rapproché... de moi, lentement... il s’est rapproché... jusqu'à me toucher.
« Tu devrais arrêter... »
J’ai senti son souffle dans mon cou, j'ai eu ce frisson, que
je ne connais pas... il était là, ses yeux m'envoutant d'une façon que
je ne croyais pas possible, d'une façon paisible. J'aimai son regard
qu'il portait sur moi, j'aimais sa main sur mon épaule... j'aimais
sentir sa peau..., sa chaleur... Il semblait si parfais... si unique...
si... lui-même... il restait sans bouger derrière moi, je ne comprenais
pas...
« Ça te fait du mal... »
Sa voix était douce, calme, et à la fois grave et forte...
j'aimais cette voix, qui me calmait, qui me faisait tout oublier...
cette voix que j'entendais de plus en plus au fil des jours qui
suivaient ce moment... je m'en souviens de tous ces jours... je m'en
souviens... parfaitement et ça me fait peur à présent, je sais que je
suis presque mort…
Mon bras…j'ai mal...mon corps…j'en tremble
de tout se que j'ai fait... tout me revient en mémoire d'un coup... un
coup de poignard qui s'enfonce dans mes tréfonds... mes larmes
s'écoulent doucement sur mes joues rougies par la honte d'être ce que
je suis… et serais surement pour toujours.
Ces flashs me reviennent toujours... comme ce premier baiser de ma vie... j'étais jeune... non... j'étais normal... innocent. C’était un
garçon...blond... ça a toujours été des garçons, même si j'en suis un
moi-même...je me dégoute en moiteur, d'aimer quelqu'un du même sexe que
moi.... je dégoute les autres a être comme ça...
Je me souviens encore de lui, il s'était approché de moi et
avait posée ses lèvres sur les miennes... des frissons m'avais
parcourut, tout mon corps s'était détendu... j'aimais ce baiser qui
m'avait été offert... mais rien d'autre n’avait été pour moi... il
était parti après, sans rien me donner d'autre. Sans aucun mot, sans
aucun souffle... il m'avait abandonné... comme on abandonne un chiot
sur le bord d'une route de campagne...
Sur ce lit, je repense à tout ce que j'ai fait dans ma vie... sur ce lit, attaché à ses fils, je repense... à tous ces actes anodins ou malsains réalisé
dans ma vie... j'ai peur…j'ai mal... j'oublie et je pense...
Son image me revient, en même temps que d'autres moments... je pense à tout et rien à la fois, entrecoupé d'image de lui…ses yeux, sa voix... son
visage... son nez, sa bouche, son front, son menton...sa façon de
bouger les bras, ou de marcher en zigzag pour s'amuser...sa façon
d'être avec moi...diffèrent de sa façon d'être avec les autres...tout
en lui me revient, tous ses gestes, ses paroles... ses mots sortis dans
un souffle ou un cri...
Je repense encore et encore a cette première fois, celle-là ou j'ai détruit ma vie... je marchais dans ces ruelles trop sombres pour moi. J'avais peur... ça oui... beaucoup, mais, je pleurais toutes les larmes de mon corps, j’étais
naïf et inconscient, je marchais dans les ruelles sombres comme ci
j'étais dans l'avenue principale de la ville.
J'étais là, comme ci de rien n’était, mais, autour de moi, la mort et la famine
proféraient. Je marchais, j'avançais dans les profondeurs sombres… je
voyais la vie, en sombre, la vie qui fait pleurer, la vie qui donne des
envies suicidaires... la vie ou le bonheur semble si lointain. Un lieu
où le bonheur est associé aux anges.
Je me revois encore, là-bas. Tout au fond, coincé entre un mur sale et noir... et lui... si
grand... il me faisait peur... très peur... je le devenais comme un
enfant découvrant une nouvelle école... comme un petit enfant devant
une araignée... comme un blessé en face de la mort...j'avais peur de
lui... comme les chrétiens ont peur du diable... c'était mon diable...
Il était Lucifer provoquant l'envie... un ange déchu de lumière... où la
lumière, c'est de l'ecstasy... de l'héroïne... de la cocaïne... Il m’a
fourni... il me fournit toujours... des doses... de plus en plus
fortes... des qualités de drogue… de plus en plus chères et
recherchées... Il me trouvait tout... il me trouve toujours tout... Il
sais que je suis accroc... il sais que j'ai de l'argent... Il en
profite.... il me vend tout... drogue et accessoire...
Les ventes proliféraient chez lui... beaucoup par moi... j'en suis à me
droguer... chaque matin avant les cours... je me pique.... a midi je
snif... le soir... je fume... trois fois... trois doses... trois
drogues... des drogues dures qui me font planer…